Il neige.
Mon village est drapé d’une ample robe blanche.
Il s’est mis en beauté tel un cygne au printemps
La note de silence alors suspend le temps
Qui ne m’est pas compté de ce coquet dimanche.
Mon regard s’est perdu suivant la glisse franche
Des flocons enjôleurs, de leurs vols envoûtants
Et songe à Briançon aux hivers éclatants,
À ses sentiers neigeux où j’enfonce à mi-hanche.
Quand le voile argenté de l’alpestre jardin
Investit tous les monts, tel un phare soudain
Une étoile au ciel pur de tous ses feux scintille.
Un monde a disparu sous cet épais manteau.
Mais comment oublier ce rêve et sa mantille ?
C’est du soleil de Dieu que naît un jour nouveau…
Pierre MICHEL.
Bonjour Pierre,
Je tente désespérément de t’envoyer un commentaire sur ton blog retrouvé, mais hélas ça ne marche pas pour moi…
Je croise les doigts !
Amitiés.
Annie
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Bonsoir, Oui et bien ça fonctionne super pour les doigts croisés. Merci d’avoir tenté et réussi.
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Waouh ! Pierre je crois que j’ai réussi !
Mille bravos pour ce superbe sonnet à l’ordre du jour !
Je t’embrasse.
Annie
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Merci de ton appréciation Annie. A l’ordre du jour en effet puisqu’elle est tombée encore la nuit dernière, Mais maintenant ce va être pluie et pluie et pluie encore. Tu n’aurais pas quelques rayons de soleil par chez toi à nous envoyer vers la région parisienne ? Amitiés poétiques.
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