L’incertain du monde
Ton essence est l’amour, ô divin créateur,
Puissant et généreux se cachant de l’insulte
De celui qui conteste en dur accusateur,
Tu le laisses croupir dans son affreux tumulte.
Mais pour celui qui vient à toi l’esprit loyal
Tu donnes ta bonté ton plein pardon royal.
Ouvrant tous les trésors des portes de la grâce
Tu laves du péché, tu supprimes sa trace.
Jésus tu fais de moi l’ami le confident
Qui tôt cueille conseil en ton pur sanctuaire
Et vis de ton triomphe à la croix du calvaire.
Sans craindre les fureurs ni le moindre incident,
Le soleil de la foi me fait marcher sur l’onde
Il affermit mon pas sur l’incertain du monde.
Pierre MICHEL
Bonjour Pierre,
Une strophe onéguine qui se fait prière et remerciement, c’est très réussi et très beau !
(Qui cueille tes conseils tôt en ton sanctuaire). Si je peux me permettre un trop d’assonance en t, ce qui n’enlève en rien la beauté de ton écrit, c’est juste à cause de la liaison quand on lit à voix haute !
Bien amicalement cher Pierre.
Annie
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Bonsoir Annie.
Merci Annie je vais revoir cela car en effet souligné ça devient évident.
Bonne soirée.
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